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Tecoma Business Forum : Les perspectives d’une filière du bio à La Réunion

Espace de débat, le Tecoma Business Forum se veut aussi un « think tank » à même de faire surgir des idées et propositions bien concrètes. Il est organisé chaque mois par L’Eco austral en partenariat avec Nexa, l’agence de développement de La Réunion.

Les intervenants au Tecoma Business Forum : 

Gaston Bigey, directeur général de Nexa : « Une filière économique réunionnaise basée sur l’agriculture biologique pourrait s’adresser à la demande locale, ainsi qu’à l’exportation via la transformation. »

 

Frédéric Lorion, responsable de l’Observatoire économique de Nexa : « Les surfaces cultivées en agrobiologie représentent 600 hectares à La Réunion.

Olivier de Gérus, chargé de projets de valorisation agricole au Conseil général : « Le Conseil général et l’Europe sont des partenaires privilégiés de l’agriculture réunionnaise. »

Sébastien Legoff, conseiller agriculture biologique de la Chambre d’agriculture : « Nous préparons l’avenir de l’agrobiologie à La Réunion pour la période 2014-2020. »

Anne-Laure Porcher, responsable d’Agriterra : « Nous avons un projet de 7 hectares de cultures bio à l’Étang-Salé et de 6 modules de serres à la prison du Port dans le cadre du projet en réinsertion Bardzour. »

Mireille Ramiandrisoa, chef de projet pour AVAB Réunion : « Nous envisageons de former un réseau du bio dans l’océan Indien. »

Dominique Oudin, chargé de mission pour l’AD2R, gérant de Yebo : « Je lance un appel pour la filière œufs bio à La Réunion. »

Stéphane Foglia, membre de l’AREC : « Nous organisons un marché bio hebdomadaire pour 150 familles, qui ne cesse de s’accroître. »

Stéphanie Brillant, chargée de mission pour l’Aplamedom : « La transformation industrielle est le maillon qui manque pour développer la filière des plantes aromatiques et médicinales. »

Corinne Grondin, administratrice de l’Aplamedom : « J’envisage de cultiver un hectare de plantes médicinales en agrobiologie. »

Elodie Filain, chargée de projets restauration scolaire au Conseil général : « Le marché à conquérir pour l’agrobiologie est d’entrer pour au moins 20% dans les millions de repas servis chaque année en restauration scolaire. »

 

Christian Mériau, directeur du Cyroi (Cyclotron Réunion-Océan Indien) : « On observe une montée en charge très forte du bio en cosmétique. »