Gaïa fait sa place au soleil
Spécialisée dans le solaire, l’entreprise, qui porte le nom de la déesse identifiée à la Terre-Mère dans la mythologie grecque, connaît une forte croissance depuis sa création en 2008. Elle profite d’une prise de conscience écologique qui s’est confirmée lors de l’élection européenne du 26 mai 2019. À La Réunion, si l’on cumule les scores des listes « écologistes », on arrive à plus de 15 % des suffrages exprimés, ce qui place ce courant politique en troisième position. Certes, la faible participation à cette élection (moins d’un électeur sur trois a voté) nous oblige à relativiser, mais c’est quand même un signe. L’autre élément qui contribue à doper le solaire est la baisse des coûts d’investissement qui représentent 80 % des coûts de production. Logique puisque l’énergie solaire est gratuite, au contraire du fioul, par exemple, qui est à la merci d’une envolée des cours du baril.
Gaïa emploie aujourd’hui plus de 90 personnes qui interviennent à travers trois entités distinctes qui s’adressent aussi bien aux particuliers qu’aux professionnels :
– Gaïa Photovoltaïque pour l’ingénierie, le développement et l’installation de systèmes de production d’électricité par l’énergie solaire, appelés Cube ;
– Gaïa Chauffe-Eaux Solaires pour l’ingénierie, le développement et l’installation de chauffe-eaux, appelés Soffo ;
– Gaïa Service & Prospective pour les études d’optimisation énergétique, la maintenance et les conseils d’utilisation personnalisés.